• trois Pilotes : 2 avions de ligne et un Piper

    L’affaire de TURIN ( Italie ) a eu lieu le 30 novembre 1973 à l’aéroport de Turin.

    L’ovni, détecté par le radar de l'aéroport, a été vu par deux pilotes professionnels et un troisième, pilote d'un Piper, l’a poursuivi aux commandes de son appareil.

    Des dizaines de témoins l’ont observé dans l’aéroport même.

    Environ 7 minutes avant la fin du vol 325 d’Alitalia, la tour de contrôle prévient le commandant Mezzelani qu’un objet inconnu, libérant une très grande lumière, apparaissait sur sa trajectoire d’atterrissage.

    Le pilote et son second regardent le ciel sans rien voir. L’avion est alors à 2000 mètres d’altitude.

    A 2 minutes de l’atterrissage et à 300 mètres d’altitude ils aperçoivent soudain une très grande lumière sur la ville de Turin.

    Cette lumière est de couleur blanc bleuté. Le pilote pense qu’elle est à 15-20° de l’horizon.
    Elle est très grande et ce n’est pas un satellite ou une étoile, ni même un ballon. Il n’a jamais vu une chose pareille.

    Les instruments n’indiquent rien d’anormal et le ciel est serein. La tour de contrôle de Turin lui signale alors qu’elle voit l’Ovni sur les radars et qu'elle apercoit quelque chose à peu près grand comme un DC 8 ou un Boeing 707.

    Il ne voit lui que la lumière, très grande et très brillante. Tout est normal sur les appareils de bord.

    Après avoir atterri, le pilote et son second se dirigent vers l’aérogare et voient encore cette lumière. Cette fois, elle est plus petite. Elle a bougé, en s’éloignant vers le sud-ouest.

    A l’aérogare, le commandant d’un autre vol de l’Alitalia, le 043 confirma qu’il avait également vu une très grande lumière sur la ville de Turin.

    Enfin un autre pilote, sur PIPER, a très bien aperçu cette lumière et à essayé de la suivre, grâce aux indications du radar.

    Le radar de l’aéroport de Turin a vu longtemps cet objet, et a confirmé que la grandeur de l’objet était celle d’un DC 8 . L’objet ne se déplaçait ni en ligne droite, ni avec des courbes, mais "comme en zigzags".

    Riccardo Marano aux commandes de son PIPER, attendait avec d’autres avions, l’autorisation de se poser sur l’aéroport de Turin. Il entendit la tour de contrôle prévenir un appareil sur le point d’atterrir qu’un objet volant inconnu se trouvait à environ 1200 mètres d’altitude, non loin de l’endroit où il devait toucher le sol.

    Un contrôleur de la tour l’alerta. Le radar avait localisé un objet sur son écran. Il demanda l’autorisation de prendre contact avec l’aéroport pour changer de route et s’approcher de l’objet, afin de voir de quoi il s’agissait. Il reçu l'autorisation. Le radar lui indique le chemin pour s’approcher de l’objet.

    Pendant qu’il se rapprochait de celui-ci, le radar l’avisa que cet objet bougeait et prenait la direction de VAL SUZA; Il changea donc de cap. Mais les radars l’informaient soudain qu’ils l’avaient perdu sur leur écran ; il chercha alors dans le ciel pour voir s’il apercevait l’engin à l’œil nu.

    A ce moment, un autre avion qui venait de décoller lui indiqua que l’objet se trouvait derrière lui, à une altitude de 3600 mètres. Il volait alors à environ 3000 mètres. Immédiatement il amorça un virage et il vit devant lui, un objet qui ressemblait à une sphère d’une luminosité intense et très blanche. Cette lumière diminuait et augmentait; elle ne s’éteignait jamais. Seule son intensité variait.

    L’objet était un peu plus haut que son avion et il a donc commencé à monter à sa hauteur pour s’en approcher. Tout en grimpant, il eut la nette sensation (ses appareils de contrôle le confirmaient ) que l’objet montait ou descendait devant lui. Profitant d’un moment où l’objet était en contrebas, il se mit en descente, accéléra pour atteindre plus de 400 km/h. Mais il n’a pas réussi à rejoindre l’objet car celui-ci s’est éloigné de plus en plus de son avion en augmentant sa vitesse par rapport à la sienne.

    L’engin s’éloignait vers le sud et il tenta de le suivre pendant quelques minutes. En raison de son faible rayon d’action, il fut vite obligé de faire demi-tour vers l’aéroport. La durée de la poursuite fut de 7 à 8 minutes entre le moment où il aperçu l’objet jusqu’au moment où il s’en approcha.

    L’alerte a été donnée vers 19 heures et l’apparition dans le ciel de Turin a duré de 15 à 20 minutes.
    L’objet était intensément blanc, comme la lumière d’un tube au néon. L’objet a changé de vitesse ce qui est sûr, c’est que cette vitesse était supérieure à la sienne, puisqu’il n’a pu le rattraper. C’était un objet qui probablement était piloté car il se déplaçait dans tous les sens : les manœuvres qu’il accomplissait le laissent croire.

    Enfin un dernier témoignage, que l’on peut rattacher à l’affaire du 30 novembre 1973 au-dessus de la ville de Turin : celui de Franco Contin. Il est photographe amateur ; ce soir du 30 novembre, mais plus tôt, il a enregistré des photos d’une "étoile" au comportement et à la forme vraiment bizarres.

    Pour compléter et en guise de conclusion : quelques jours après, des chasseurs italiens sont venus patrouiller au-dessus du VAL SUZA.

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