• Ce que dit la science : les études existantes

    Rares sont les exemples d'études scientifiques sérieuses touchant directement aux PAN (Phénomènes Aériens Non-identifiés).

    Nous ne bouderons donc pas notre plaisir en vous présentant quelques "rares spécimens" d'études qui ont le mérite d'exister.

    Rapport n°1 Anomalous Light Phenomena, Ph.D Massimo Teodorani, Documents de recherche de 1994 à 2003.

    Ce rapport présente un ensemble de résumés des documents et rapports concernant la recherche sur les phénomènes lumineux anormaux (ALP). Le lecteur est alors immédiatement guidé vers les lien internet dans les cas d'œuvres électroniques. La présentation couvre plusieurs aspects : 1) les propositions physico-technologiques, 2) des projets d'observation afin de prouver ou de réfuter plusieurs théories, 3) sujets épistémologiques, 4) missions sur le terrain et leurs résultats, 5) des études du SETV. Cette collection, qui est précédée par une introduction détaillée concernant les recherches de l'auteur, est destinée à encourager davantage l'étude scientifique approfondie des phénomènes aériens anormaux en général.

    Rapport n°2 Etude Physique des Anomalies Atmosphériques Lumineuses d'Hessdalen (Norvège) et l'hypothèse SETV, par le Dr. Massimo Teodorani, en Mars 2002.

    Informations complémentaires www.Hessdalen.org

    Sur la base de calculs statistiques des migrations galactiques, cet article explore la possibilité que des véhicules et/ou des sondes exogènes pourraient avoir atteint notre système solaire, et la Terre. La technologie disponible sur Terre est elle-même déjà en mesure de mener des opérations de détection à la fois sur notre propre planète mais aussi aux frontières extrêmes de notre système solaire. La présence éventuelle de sondes d'origine non-terrestre sur Terre peut être traquée en utilisant un réseau de stations de détection placées dans des zones stratégiques. L'une d'elles est le secteur norvégien de Hessdalen, où deux missions scientifiques d'exploration ont montré l'existence d'anomalies liées à des phénomènes lumineux. À l'heure actuelle, rien ne prouve scientifiquement que notre planète est visitée par des intelligences non-terrestres. Rien ne prouve non plus que ce n'est pas le cas.

    Néanmoins, les indices physiques issus des données recueillies sur place au cours d'observations, et ce grâce aux instruments de mesure déployés, valident l'existence possible à très probable, derrière certains de ces phénomènes, d'objets physiques solides.

    La remarquable récurrence de ces phénomènes est d'une extrême importance pour la recherche dans certains domaines de la physique fondamentale, et montre la nécessité d'une enquête plus poussée avec des instruments beaucoup plus sophistiqués.

    Aveu à mots-couverts des limites de performances de nos technologies actuelles.

    Il faut noter que le CNES a décidé de s'associer à ces recherches par l'envoi d'une équipe de scientifiques français qui s'est rendu dans la vallée d'Hessdalen en Norvège au début du mois de septembre 2010, afin d'installer une station de détection et de mesures pour étudier les étranges phénomènes lumineux qui s'y manifestent depuis plusieurs décennies.

    Rapport n°2 Video Analysis of an Anomalous Image Filmed during Apollo 16, par Hiroshi Nakamura, Docteur en Ingénierie Electronique, paru au 3ème trimestre 2003 dans le Journal of Scientific Exploration.

    Dans cette analyse, le Dr Nakamura prend tout d'abord soin d'authentifier la vidéo-sujet de son étude. Vidéo qu'il a retracé au sein même des archives vidéos de la NASA. Il commence par situer aussi précisément que possible les angles et vues du champ arrière capturé sur la vidéo, puis les coordonnées et altitudes des points d'où auraient pu être prises les vues de la vidéo, ainsi que leurs dates et heures. Il analyse ensuite le "comportement" de l'objet au cours de la vidéo. Il en conclut que la vidéo CL-862 a été filmée à bord du module Apollo 16, lors de son retour vers la Terre, le 25 avril 1972, entre 2h30 et 3h, à environ 2200km de distance de la Lune, aux coordonnées  proches des 10°2 de Latitude Nord et 89°1 de Longitude Est. L'analyse des différents paramètres lui permet, tout au long de son étude, de discuter techniquement les différentes hypothèses antérieurement proposées (Terre, petit objet celeste, objet issu du module, débris ou abérrations optiques). Les ayant écarté, il conclut à la forte probabilité qu'il s'agisse d'un vaisseau ou d'une sonde non-terrestres, en ce qu'elles paraissent les seules explications compatibles avec les données. Il rappelle enfin que la présence de vaisseaux d'origine non-terrestres dans notre système solaire reste une hypothèse rationnelle, bien que psychologiquement difficile à admettre pour certains scientifiques. Et que la Lune n'est donc pas à exclure de cette hypothèse. Il rappelle enfin que ses conclusions sont encouragées par les affirmations d'un scientifique du Jet Propulsion Laboratory (voir aussi Jet2), Scot Stride : "une sonde non-terrestre pourrait émettre des signaux optiques vers la Terre en ce moment même, que nous ne le saurions jamais."  lien SETI League et Scot Stride.

    Bien que très affirmative dans ses conclusions, son analyse ne constitue en aucune manière une preuve, mais est représentative du type d'analyses que de nombreux scientifiques qualifiés seraient capables de réaliser sur le sujet s'ils s'en donnaient un tant soit peu la peine. Et ce quasiment sans budget.

    Rapport n°3 Etude de l'anomalie STS-48, par le Ph. D Jack Kasher, Professeur de Physique et d'Astronomie à l'Université du Nebraska (Omaha, USA).

    Dans cette analyse, le Dr. Kasher part des hypothèses proposées par 4 scientifiques de la NASA interrogés au sujet de la vidéo : selon eux, les "objets" visibles sur la vidéo pourraient être des particules de glaces déplacées par les fusées d'ajustement de la navette. Considérant que de telles conclusions (et d'autres proposées telles que des météores, des débris spatiaux, des satellites...) ne reposaient pas sur une analyse scientifique de la vidéo, il entreprend un certain nombre de calculs en tenant compte de paramètres multiples (trajectoires des "objets", vitesses, angles, force de poussée des fusées vernier, etc...) et les compile pour apporter 5 preuves établissant que ces objets ne peuvent être des particules de glace. En conclusion de son étude, il ressort qu'à l'analyse des données, l'explication la plus probable et la plus raisonnable est qu'il s'agissait de vaisseaux extraterrestres.

    Ce que notre Science ne comprend toujours pas...