• Le Professeur Robert Jacobs

     

    Professeur d'Ingeniérie et Communications Optiques à la Bradley University of Chicago, Robert Jacobs était 1er Lieutenant dans l'US Air Force, lorsqu'en 1964, il fut témoin d'évenements surprenants :

    Nié par l'US Air Force, l'incident survenu à la Vandenberg Air Force Base est confirmé par ses deux principaux protagonistes. Après avoir observé le silence pendant 20 ans, un premier lieutenant témoigne : un OVNI a intercepté le tir d'un missile à la base de Vandenberg en 1964.

    De 1963 à 1966, Robert Jacobs est en charge de l'instrumentation photo-optique à Vandenberg AFB. Sa mission consiste à photographier chaque tir de missile à la base. Le 15 septembre 1964 est une journée ordinaire : Jacobs immortalise le tir d'une fusée Atlas F et transmet le film pour développement.

    Le jour suivant, le Major Florenz J. Mansmann le convoque dans son bureau. Le film est projeté : on peut voir la fusée Atlas F, équipée d'une ogive nucléaire factice, décoller et poursuivre normalement sa course. Un objet apparaît alors dans le ciel et tire un rayon lumineux sur l'ogive à 4 reprises. ” Tout cela s'est passé alors que la fusée volait à 7000 ou 8000 km/h “, se souvient Jacobs.
    Le Major stoppe la projection et lui demande : ”Qu'est ce que c'est que cela ?“. ”On dirait un OVNI” répond Jacobs. Le fixant dans les yeux, le Major lui rétorque : ”Ca, vous le gardez pour vous. Et vous concernant, lieutenant Jacobs, cela ne s'est jamais produit". Avant de quitter la pièce, on lui ordonne de jurer le silence sur cet incident.

    ”Ce que j'ai vu, étaient 2 assiettes collées l'une contre l'autre avec une balle de golf au-dessus. Bref, une soucoupe volante classique, et qui tirait un rayon de quelque chose sur l'ogive de notre fusée " expliquera Jacobs aux ufologues.

    Aujourd'hui, Jacobs est Professeur Associé à la Bradley University de Chicago. ”A l'époque, j'envisageais une carrière à la NASA, j'ai donc observé le silence (…). Pendant 18 ans, je n'en ai parlé à quiconque. Ni à mes meilleurs amis, ni à ma femme “. En 1982, au terme de sa carrière militaire, il rompt son serment. Contacté par des enquêteurs, le Major Mansmann, retraité, corrobore le récit de Jacobs : ”L'histoire racontée par Robert Jacobs est authentique (…). Après coup, je regrette de ne pas avoir pu visionner le film et ils l'ont emporté dans un attaché case (…). Je reçus l'ordre de mon chef de considérer cet incident comme ” top secret ” “.

    Qui sont ces agents en civil, autorisés à confisquer le film ?. ”Ils n'étaient pas de l'Air Force mais d'un autre corps. Ils ne se sont jamais identifiés. Ils pouvaient bien être de la CIA, de l'OSI (Office of Special Investigations) ou l'OSS (Office of Strategic Services). Ou pourquoi pas de Disneyland, franchement je n'en sais rien !” se lamente le premier-lieutenant Jacobs.

    "Après un article paru sur l'incident, les gens sont devenus fous. Je commençais à être harcelé au travail. Je recevais d'étranges coups de téléphones durant la journée. La nuit, chez moi, il n'arrêtait pas de sonner, toute la nuit parfois. Trois heures du matin, quatre heures, minuit, dix heures du soir. Ils m'appelaient et commençaient à m'insulter. "On va pas te laisser faire, sale enculé ! On va pas te laisser faire !" .C'est tout ce qu'ils disaient. Ils gueulaient ça jusqu'à ce que je raccroche.

    Une nuit quelqu'un a fait sauter ma boîte aux lettres en y fourrant un paquet de feux d'artifices. La boîte s'est volatilisée en flammes. Puis vers une heure le téléphone a sonné. Je décroche et quelqu'un me dit : "Tu as vu le feu d'artifice dans ta boîte ? Quel beau spectacle, sale enculé !"

    Et ça continue encore de temps en temps, depuis 1982...

    Je crois que tous ces illuminés que l'on trouve autour de la question extra-terrestre font partie d'un effort concerté pour écarter toute étude sérieuse. A chaque fois que quelqu'un essaye d'étudier le sujet sérieusement, il est complètement ridiculisé. Je suis un professeur à part entière dans une université importante. Mais je suis certain que mes collègues se moquent de moi, disent les pires choses quand ils savent que j'étudie les phénomènes extraterrestres, et ce n'est qu'un aspect de cette réalité qui nous entoure.

    Savoir ce qui est arrivé au film est une histoire intéressante en elle-même comme le major Mansmann le raconta, à moi et à d'autres. Quelques temps après que je sois parti, des gars en civil, je pensais à la CIA mais il m'affirma que non, prirent le film, débobinèrent la partie qui montrait l'OVNI, la coupèrent aux ciseaux pour la mettre sur une autre bobine qu'ils rangèrent dans leur attaché-case. Ils ont rendu le reste au Major Mansmann et lui dirent: "Nous n'avons pas besoin de vous rappeler, Major, la gravité d'une brèche dans la sécurité; nous considérons cet incident clos". Puis ils sortirent avec le film : le Major Mansmann ne l'a jamais revu."

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