• Un Officier de Sécurité de l'US Air Force - Larry Warren

    Larry Warren était Officier de la Sécurité à la base de la Royal Air Force Bentwaters au Royaume-Uni. Il était présent lors d'un événement en 1980, lorsqu'un véhicule extraterrestre a atterri, stationné et interagit avec le personnel de l'Air Force sur la base. Plus tard, la plupart du personnel ayant été témoins des événements ont été intimidés, débriefés et forcés à signer des documents racontant une fausse version des événements. Le témoignage de Warren est corroboré par de multiples autres témoins militaires qui ont été identifiés. Il existe des documents officiels en rapport avec ces événements ; il y a notamment une photographie en rapport à cet événement ; et il y a des preuves sous forme de traces physiques de l'atterrissage. L'événement est aussi corroboré par l'officiel du Ministère de la Défense Nick Pope, par l'Amiral cinq-étoiles, ancien Ministre de la Défense britannique Lord Hill-Norton, ainsi que par le sergent Clifford Stone.

    Il témoigne en septembre 2000 :

    "Nous traversions avec un compteur Geiger quand un des autres gars est revenu; il avait quelque chose qui sortait de sa poche. Il a été emmené très rapidement et, je peux le jurer sur ma tête : je ne l'ai jamais revu. Il a été enlevé. C'est arrivé à un tas de personnes. Cela a conduit à un suicide dont l'Air Force est responsable. Une véritable personne, avec un vrai nom...

    Ensuite nous avons été conduits au bureau disciplinaire : sur la table il y avait des feuilles. Nous étions dix. Il y avait six ou sept tas de documents pré-imprimés. L'un d'eux était sensé être un descriptif de ce que nous avions vu, mais ce n'était pas du tout ce que nous avions vu. Cela disait que nous témoignions librement et que nous n'avions vu que des lumières en mouvement parmi les arbres. Je m'en souviens clairement. J'ai demandé : "Que se passera-t-il si nous ne signons pas ceci, Major Zigler ?". Il répondit : "Vous n'avez pas le choix... comme moi je n'ai pas d'autre choix que de vous demander une signature là-dessus..."

    Deux personnes vinrent derrière chacun de nous, et je me souviens de quelqu'un portant quelque chose devant lui puis ce qui pouvait être le bruit d'un aérosol. Je me suis à moitié évanoui. Mon nez coulait abondamment et ma poitrine était oppressée. Ensuite j'ai été balancé sans ménagement ; j'ai été battu, littéralement frappé dans les côtes et poussé... Je suis revenu à moi une vingtaine de minutes puis j'ai sombré pendant un jour entier. D'autres personnes ont raconté la même chose. Pendant ce temps les gens disaient que j'étais malade, en permission ou simplement absent de la base. En fait j'étais juste en dessous de la base. On était plusieurs...

    J'avais des marques quand je suis sorti de là. J'avais des contusions et un bandage. Il faut l'admettre. C'était réel. Je les avais. J'ai peur de savoir, de penser à ce qui a pu se passer.

    La seule explication que j'ai, c'est que j'avais été remarqué, par un Colonel de l'Air Force, assistant à la sortie furtive de quelques-uns d'entre eux. Ils disaient qu'ils allaient m'isoler. Ils me voyaient presque comme une sorte de Frank Serpico, et incapable de travailler en équipe parce que trop bavard...

    Malheureusement après, mon ami Alabama a fait le mur pour tenter de rentrer chez lui. A l'aéroport O'Hare (Chicago), il a été capturé par le FBI et ramené à la base immédiatement. Tout ce qu'il voulait c'était retourner chez lui. Mais il a été remis au service des vols.

    J'étais totalement déprimé. On m'avait mis de patrouille dans un véhicule avec un Sergent Chef. Soudain Alabama appelle sur la radio ; il disait qu'il se tuerait s'il ne pouvait pas rentrer chez lui. Aussitôt le Sergent Chef a fait demi-tour et a filé vers le poste. Il disait "Restez branché sur cette Bon Dieu de radio!". Je voyais toutes les unités traverser la piste pour se ruer vers le poste. Ça n'a rien fait. Alabama avait un petit M16 : il l'a mis dans sa bouche et s'est fait sauter la cervelle. C'était la première fois que je voyais la mort, la mort violente, à 19 ans. Nous étions aussi différents que le jour et la nuit, ce garçon et moi. Vous voyez, il était du Sud, moi du Nord. Il était très religieux. Je respecte cela, mais nous n'avions rien de commun. C'était un bon gars. Et ils n'ont rien fait pour nous aider..."

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