• Ce que dit la science : Science et Energies

    Le voyage interstellaire pose donc aussi la question des types d'énergie connus, que l'on exploite au travers de nos méthodes de propulsion actuelles.

    Le concept d'énergie, bien qu'il ait commencé à émerger au 17ème siècle, ne s'est affiné jusqu'à aboutir à l'établissement de lois et permettre la révolution industrielle en Europe, qu'au 19ème siècle seulement, pour monter en puissance jusqu'à aujourd'hui. Il s'agit donc d'un domaine qui n'en est encore qu'aux balbutiements de l'histoire scientifique moderne.

    Nous autres, êtres humains, distinguons différentes formes et sources d'énergie :

    Les formes d'énergie connues

    - 1600 : l’énergie mécanique, qui désigne aujourd'hui la combinaison de l’énergie cinétique et de l’énergie potentielle mécanique;
    - 1691 : l'énergie cinétique d’une masse en mouvement;
    - 1800 : l’énergie électromagnétique (par exemple la lumière);
    - 1850 : l’énergie potentielle des divers types de forces s’exerçant entre systèmes.

    Les sources d'énergie connues

    En 2008, nous tirions notre consommation d'énergie des sources suivantes :

    - Energies fossiles (pétrole, gaz, charbon) : 87%

    - Energies Hydrauliques : 6%

    - Energie Nucléaire : 5%

    - Energies renouvelables : 1,04%

    - Energies issues de la biomasse : 0,96%

    Alors que le 21ème siècle commence à peine, la recherche fondamentale, bien en peine d'aboutir à une théorie unifiée expliquant l'intégralité de notre univers, commence déjà à remettre en cause l'un de ses principaux piliers : la nature de la gravitation. Il apparaît aussi, clairement, que les processus de production d'énergie basés sur la masse de la matière sont des processus violents et "destructifs". En effet, la fission nucléaire procède par chocs violents de particules tandis que la fusion chaude nécessite des quantités d'énergie considérables pour porter et maintenir les particules aux températures nécessaires aux effets recherchés.

    Toute matière est énergie. Nous ne savons donc toujours pas, à ce jour, exploiter à grande échelle, une source pure d'énergie, et surtout sans en dépenser ou très peu, pour ce faire. Une Energie avec un grand E, au sens de "constituant intime de toute matière connue".

    Tandis qu'il commence à peine à découvrir de nouvelles sources d'énergie qu'il peine encore à exploiter de façon massive et optimale, l'Homme en est donc encore réduit, pour l'essentiel, à exploiter des déchets naturels pour produire de l'énergie.

    Est-ce là le signe d'un être suprêmement intelligent qui aurait déjà tout compris et qui maîtriserait parfaitement son environnement ?

    Permettez-nous au minimum d'être sceptiques sur ce point...

    D'autant que le fait d'avoir identifié et d'avoir tout juste commencé à exploiter certaines sources d'énergie n'implique pas et ne signifie pas que nous avons identifié et que nous exploitons toutes les sources d'énergie existantes dans l'univers.

    Autrement dit, et pour prendre un simple exemple, ce n'est pas parce que certains scientifiques du 19ème siècle ont pu penser qu'ils savaient tout des sciences, des énergies et du monde, que cela avait valeur de certitude absolue : ils ne connaissaient pas encore l'énergie nucléaire et pourtant celle-cie était à l'oeuvre depuis la "naissance" même de l'univers. Nous ne l'avons découverte, comprise, développée qu'au début du 20ème siècle et nous savons maintenant pour l'avoir observée et identifiée qu'elle se manifeste dans l'univers au travers de nombreux processus  à l'échelle des galaxies et des étoiles.

    Combien et quelles autres sources d'énergie ont-elles encore à ce jour échappé à l'accuité mathématique et aux appareils de détection et d'observation de nos scientifiques modernes ? Tout "scientifique" prétendant qu'il n'en existe aucune autre serait un imposteur doublé d'un charlatan perdu pour la science.

    L'énergie du vide

    On peut assimiler l’énergie libre, ou énergie du point zéro, à ce que les physiciens quanticiens appellent "l’énergie du vide" - voir Heisenberg et l'effet Casimir. Le vide, selon l'état actuel de la science n'existe pas. Il est constitué de particules en perpétuelle agitation (énergie). Cette énergie est extraite par polarisation locale de cet espace énergétique. L’idée est que le vide est rempli d’énergie "potentielle" : tous les modes d’énergie quantiques minimaux possibles existent et interfèrent les uns avec les autres pour s’annihiler de la même manière que deux vagues de sens contraire (en creux et en bosse) s’annihilent. Ainsi la fantastique énergie quantique est totalement détruite par les interférences aléatoires de tous les modes d’énergie à toutes fréquences… Mais en créant des zones de cohérence, des zones où on fait en sorte d’amener les vagues en bosses à s’accumuler, on peut localement récupérer de l’énergie… on pense que c’est ainsi que fonctionne l’extraction d’énergie du vide. Les physiciens quanticiens estiment que l’énergie du vide (celle qui se détruit et qui nous reste donc encore inaccessible) est si grande dans chaque centimètre cube qu’elle dépasse aisément l’énergie contenue dans le soleil, et cela pour chaque centimètre cube d’espace seulement… alors si on arrive à polariser légèrement ce vide par des méthodes encore mal identifiées mais basées sur l’électromagnétisme, on peut comprendre qu’on puisse récupérer un peu d’énergie qui, injecté dans une machine nous fournirait plus d’énergie qu’elle n’en consomme : la machine ne ferait que "pomper" l’énergie là où elle est, mais ne créerait rien… c’est la nature qui alimente l’énergie du vide.

    L’energie du vide, plus communément appelée énergie du point zéro peut-elle alors représenter une solution face à nos carburants actuels ou à nos piles à combustible futures ?

    En effet, dans 50 ans (ou même plus car cela fait des années que nos ressources s’épuiseront dans 50 ans…), il n’y aura plus de pétrole et paradoxalement de diesel ou d’essence. De plus, notre planète étant en danger depuis de trop longues années, il est indispensable de penser à une alternative. La pile à combustible semble être une solution, mais à l’heure actuelle, son coût de fabrication reste trop élevé en grande série et sa mise au point reste perfectible. Même si les véhicules hybrides déjà présent dans le parc automobile fonctionnent très bien, ils n’annulent pas les émissions et l'émergence de grands pays anciennement sous-développés (Chine, Inde, ...) nous conduit à consommer toujours plus de carburant. C’est pourquoi il est indispensable de trouver une énergie infinie, non polluante et qui permette d’obtenir des performances au moins similaires à nos moteurs thermiques actuels.

    Le processus de recherche et d'invention : véritable parcours du combattant

    De nombreux scientifiques, ingénieurs et sociétés travaillent aujourd'hui à la recherche et au développement des énergies et technologies de demain. Celles qui permettront à l'homme, du moins espérons-le, de se passer des énergies fossiles ou du nucléaire, et qui le feront accéder à des énergies "propres", non ou moins polluantes.

    La recherche en ce domaine prend des formes multiples et de nombreux chercheurs et inventeurs sont confrontés à une problématique toute simple : celle du retour sur investissement.

    En effet, lorsque l'on entame une démarche d'expérimentation de nouveaux moteurs ou de nouveaux procédés, il faut monter un laboratoire ou au minimum un atelier à peu près digne de ce nom. Le plus modeste des "géo-trouve-tout" devra disposer d'un espace d'au minimum 20m² (qui deviendra rapidement très étroit), acheter du matériel, des composants, des outils, des appareils de mesure, et toutes sortes de choses qui feront exploser son budget à vitesse grand V. Et dégager du temps en dehors de ses activités professionnelles d'ordre "alimentaires".

    La problématique d'un tel investissement est donc de le rentabiliser. A priori me direz-vous, le moyen le plus simple pourraît être, à chaque fois qu'un inventeur aura bouclé une étape significative d'un projet, de déposer un brevet correspondant. Ou un brevet global si l'invention est parfaitement aboutie.

    Seulement la préparation d'un simple brevet, d'une durée de validité de vingt ans et limité au seul territoire français, vous coûtera déjà de 5 à 6.000 €. Si vous voulez que votre brevet soit valable au niveau international, il vous en coûtera la bagatelle d'environ 120 à 130.000 €. Et en plus de cela, et malgré ce coût faramineux, votre brevet ne sera jamais parfaitement protégé. Le modeste inventeur n'a plus qu'à aller se recoucher.

    Pour les plus téméraires qui s'y risquent quand même, ceux-là se trouvent vite confrontés à de multiples  tracasseries administratives et d'ordre parfois sécuritaire.

    L'Energie au coeur d'enjeux économiques et d'enjeux de pouvoir ?

    "Sécuritaire, vous avez dit sécuritaire" ? L' Invention Secrecy Act

    Un petit bijou que cet "Invention Secrecy Act". Vous n'y couperez pas si vous souhaitez déposer un brevet à portée internationale.

    On ne peut pourtant pas reprocher aux entreprises, aux chercheurs et aux inventeurs de ne pas s'acharner à tenter l'aventure du progrès technologique et de vouloir façonner notre futur civilisationnel.

    Pour preuve : 5135 ordonnances de mise au secret ont fait "tomber" autant de demandes de brevets sous le coup de cette loi depuis qu'elle existe. Alors, réalité ou mascarade ? Enorme scandale international ou complot ridicule ?

    Si la justification initiale de cette loi semblait à peu près louable et compréhensible dans un contexte de guerre mondialisée, et que l'on considère son caractère temporaire (l'objet de cette loi ne consistait théoriquement qu'à reporter à la fin de la 1ère guerre mondiale la délivrance des brevets concernés), force est de s'alarmer de sa normalisation et du caractère intemporel qu'elle a acquis de nos jours.

    Il ne peut évidemment pas s'agir de brevets concernant de simples objets utilitaires du genre "ouvre-boîte révolutionnaire" par exemple, ni autres "futilités" du même acabit.

    Mettons qu'elle soit encore inconnue, si un scientifique tentait de déposer aujourd'hui un brevet décrivant la fission nucléaire et sa mise en application industrielle, on pourrait comprendre l'intérêt d'une telle ordonnance de mise au secret.

    Il est assez rare qu'un brevet décrive et concerne spécifiquement une arme ou un procédé à destination purement militaire. Les brevets à contenu scientifique décrivent généralement le fonctionnement de base et les principes généraux de technologies originales et donc novatrices. Ils ont donc une portée générale, même si les scientifiques ne sont pas dupes des éventuelles retombées que leurs brevets pourraient avoir dans le domaine militaire.

    Et pourtant la fission nucléaire a fait basculer nos sociétés dans l'ère nucléaire. Source d'immenses progrès si on ne considère que la notion de rendement énergétique !

    Vous allez peut-être croire que cette loi n'a qu'une portée locale (USA et Canada) ?

    Que nenni, le principe est tentaculaire et fonctionne ainsi : ces ordonnances de mise au secret frappent toutes les demandes de brevets déposés dans les pays avec lesquels les USA ont signé un "accord pour la sauvegarde mutuelle du secret des inventions intéressant la défense et ayant fait l'objet de demandes de brevet" : Allemagne, Australie, Belgique, Canada, Danemark, Espagne, France, Grèce, Italie, Japon, Luxembourg, Norvège, Portugal, Rayaume-Unis, Suède, Turquie.

    Mais cela s'étend surement bien au delà avec tous les accords bilatéraux, etc...

    En cherchant vite fait sur le web nous avons trouvé quelques liens très instructifs : France(1), France(2), France(3), et Danemark, Chine. En cherchant bien on doit pouvoir en trouver beaucoup plus. L'ensemble est coordonné par l' OMPI à Genève en Suisse, sur la base d'un Traité de coopération internationale en matière de brevets signé à Washington le 19 juin 1970.

    En lisant attentivement les textes, on comprend que les juristes on prévu toute une batterie de mesures visant à cadenasser les démarches des inventeurs. Par exemple, le droit français interdit à un inventeur français de déposer une demande de brevet européen ou international ailleurs que dans son pays. Et le fait pour un inventeur d'exercer pour le compte d'une entreprise étrangère des activités d'études ou de recherche de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation exposent celui-ci aux sanctions prévues au nouveau code pénal. Le cadenas juridique est complet.

    Ainsi les grands pays occidentaux se sont rendus incoutournables sur les scènes politique, économique et scientifique internationales. Vous voyez, vous, un inventeur aller déposer une demande de brevet au Zimbabwé ? (si tant est que ce pays ne soit pas tenu par un quelconque accord, traité bilatéral ou autre). Vous pensez que son brevet sera sérieusement protégé au niveau international ?

    Comment cela fonctionne-t'il ? Simple : un comité du pays concerné examine les dépôts au regard de la sécurité nationale, et l'un de ses objectifs inavoués est de provoquer une rétention dès lors que cela concerne des inventions qui pourraient menacer les taxes colossales que lui rapportent les énergies fossiles, le nucléaire, ou encore le charbon, etc... Les Etats ont bien des intérêts communs avec les grands du pétrole, du nucléaires et autres gaz/charbon, etc... : on parle de collusion. Quand un inventeur voit son brevet classifié, il risque 20 ans de prison s'il continue de travailler sur son projet, en divulgue la teneur ou le contenu à quiconque ou tente de l'exploiter.

    Mais alors, que contiennent donc ces 5135* inventions/brevets qui font trembler les "maîtres du monde moderne et civilisé" ? (*à fin 2010)

    Comment cela est-il possible ? Cela sert-il réellement les intérêts du citoyen américain ? Ou bien cela ne sert-il pas plutôt les intérêts d'individus en particulier ?

    Il semblerait que l'argument de sécurité nationale serve largement les intérêts de multinationales détentrices de quasi-monopoles d'exploitation des énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon).

    L'avènement de systèmes et processus sur-productifs (générant plus d'énergie qu'ils n'en consomment) sonnerait en effet inévitablement le glas pour ces multinationales.

    Désobéissance civile

    De quelles alternatives disposent alors les inventeurs dont le domaine, la nature et la portée de leurs inventions les rend certains de voir leurs inventions tomber sous le coup de ces lois du secret et qui veulent malgré tout faire bénéficier l'humanité des bienfaits de leurs inventions ?

    La désobéissance civile : elle doit s'exprimer en conséquence du devoir naturel de tout citoyen agissant en tant qu'individu libre et égal, au sein d’une démocratie. Par la diffusion libre et massive - et par tous moyens utiles - du contenu  détaillé de ses inventions, l'inventeur réalisera un acte public, non-violent, décidé en conscience, mais politique autant que scientifique et technique, contraire à la loi et accompli dans le but d'amener à un changement technologique  principalement et en tout premier lieu, mais aussi à un changement dans la loi ou bien dans la politique des gouvernements.

    Certains inventeurs ont bien tenté une telle désobéissance : il n'est donc pas illogique d'observer une certaine effervescence autour des scientifiques "frondeurs" - une nouvelle version des "petits meurtres entre amis" et autres menaces, cambriolages, intimidations, poursuites judiciaires abusives, par le biais d'interlocuteurs et d'institutions de nature diverses et variées quelques pistes ?

    La nature criminelle et injuste de ces agissements à l'encontre des chercheurs et inventeurs justifie à elle seule la désobéissance civile.

    Cet acte de dernier recours s’adresse au sens de la justice de la majorité de la communauté, en ce qu'il vise à répondre aux besoins élémentaires présents et/ou futurs du plus grand nombre.

    Il reste cependant primordial de conditionner un tel acte à de véritables compétences, conscience et réflexion politiques. Il s'agit de s'en remettre au principe de Responsabilité en mesurant la portée et les conséquences d'un tel acte.

    La recherche en Energies libres : état des lieux et pistes de recherches

    Voici les liens vers deux sites PESWiki et Quanthomme, qui constituent nos références en la matière.

    Vous y trouverez des dossiers sur les technologies suivantes

    Les plus avancées ou prometteuses

    - les  LENR (Low Energy Nuclear Reactions appelée abusivement Fusion Froide), dont le projet le plus avancé semble être  le eCat d'Andréa Rossi, les plasmas et transmutations, voyez aussi la seule revue scientifique (peer review) a referree dans le domaine  le Journal of Condensed Matter Nuclear Science, ainsi que l'interview de Jean-Paul Biberian, Docteur ès Sciences et Maître de Conférence à la Faculté des Sciences de Luminy.

    - les matériaux de type "Solid State Generator" : toujours en cours de recherche et développement, ces matériaux pourraient déjà faire l'objet d'une intégration industrielle à grande échelle à très court terme (1 à 2 ans). Ces matériaux (associés entre eux ou intégrés en un seul métamatériau) produisent de façon totalement autonome une énergie électrique continue de faible intensité pendant de très longues durées (20 à 100 ans sans recharge ni remplacement) et seraient susceptibles de remplacer les batteries et piles de nombreux appareils modernes et présents aujourd'hui dans notre vie courante (batteries de téléphones portables, piles diverses, petits appareils électroniques, lampes à faible intensité, etc...), et sont composés de matériaux très répandus sur terre, peu couteux, et non polluants, aux dires des chercheurs qui les développent.

    - Les moteurs à base de technologie "Plasmic Transition Process (tm)" : ces moteurs pourraient rendre les énergies solaire, géothermique, éolienne, et autres énergies renouvelables obsolètes avec un coût énergétique plus de trois fois moins élevé, plus fiable et encore plus propre (empreinte carbone nulle).

    - Les moteurs à piles à combustibles Mercedes

    Les autres

    - L'Electromagnet Flux Energy développée par James B. Schwartz (Philippines), qui s'est basé sur des principes énoncés auparavant par Moray et Tesla.

    - les convertisseurs ML (Methernita-Linden en Suisse, convertisseur connu aussi sous le nom de Testatika) dont la véritable fonction de conversion du VFE en énergie ne fait aucun doute

    - la polarisation de l’eau dans un champ de tension à fréquence modulée

    - la technologie de M. Pöschl dont le moteur brûle 90 % d’eau et 10 % de gazole. Ce procédé soumet de l'eau à des ultrasons (qui s’apparentent certainement aux phénomènes de la présentation de Schwinger) pour la transformer en médium combustible - sonoluminescence et autres procédés.

    - les procédés antigravitationnels ou magnétiques

    - l'électrogravitation

    - l'électromagnétisme avancé

    - l’OSC (Oscillator-Shuttle-Circuit) non linéaire de Tesla

    - les appareils à Energie Libre et les mécanismes concernant l'interaction des champs électromagnétiques et du rayonnement avec les systèmes biologiques

    - les processus électromagnétiques scalaires

    - l'interaction entre les champs électromagnétiques et le rayonnement avec les systèmes biologiques

    - un dispositif destiné à produire un potentiel quantique qui fournit une action à distance et multiplie l'espace temps qui lui est connecté

    - l'énergie Tachyon ou Zero Point Energie, extraction d’énergie à partir du vide

    - une liste d'appareils et de leurs inventeurs

    - le bouclier d’énergie gravitationnelle

    - la MHD (Magnéto-Hydro-Dynamique)

    - l’énergie des champs

    - l'énergie magnétique (ou "courant magnétique")

    - l'extraction d'énergie du vide basée sur l’effet Casimir

    - la propulsion électrogravitique

    - la théorie du Champ

    - le moteur Minato

    - la machine de Newman

    - le Moteur Pantone

    - les systèmes Gillier-Pantone

    - une technique de transmission avec ondes scalaires avec une cage de Faraday faite d’une bobine émettrice contenant un condensateur sphérique

    - un manipulateur de champ quantique prouvant l'effet du découplement d'énergie provenant des ondes à ultrasons

    - liste non exhaustive....

     

    Exobiologie