• Un Ingénieur américain de la NASA - Alan C. Holt

    Cet ingénieur de la NASA,  spécialiste des systèmes habités, est l'auteur d'un document datant d'août 1979 et intitulé "Field Resonance Propulsion Concept".

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    Bien qu'employé de la NASA au moment de rédiger ce document, l'auteur prend la précaution de bien préciser que sa teneur n'engage pas son employeur officiellement. Mais il soumet à la communauté scientifique (certainement à ses collègues en tout premier lieu) un projet relatif à un mode de propulsion innovant et développé à partir de l'étude des éruptions solaires, des sous-orages magnétiques, des trous noirs, des quasars et... des Ovnis ! Il indique que ce nouveau mode de propulsion a déjà été développé, et ce afin de pouvoir lancer une nouvelle génération de vaisseaux spatiaux capables de voyages galactiques et inter-galactiques.

    Dans son paragraphe "UFO Research", Holt explique que l'analyse synthétique des observations Ovnis résiduelles (non expliquées) ont fait apparaître des effets et des caractéristiques communes ou récurrentes : disparitions instantanées, réapparitions instantanées en des points distants, vitesses élevées, virages à angles droits, accélérations ou immobilisations brutales, absence de "boom" hypersonique malgré des vitesses estimées allant jusqu'à 35400 km/h ou plus.

    Il explique que ces performances sont compatibles avec le concept d'appareils générant un champ gravitationnel artificiel ou utilisant des propriétés de l'espace temps encore inconnues de l'homme.

    Que les effets observés impliquent des processus électromagnétiques ou hydromagnétiques (brûlures, déshydratation, coupures de moteurs de voitures, perturbations radio et TV, fusion ou altération des sols ou de bitûmes, coupures de courant, électricité statique).

    Ce qui l'amène à postuler qu'il est possible que les systèmes de propulsion des Ovnis exploitent la relation encore incomprise par l'homme entre champs électromagnétiques et champs gravitationnels.

    Dans une présentation devant l'American Institute of Aeronautics and Astronautics' 16th Joint Propulsion Conference du 30 juin au 2 juillet 1980, Holt décrivit un nouveau système appelé "Coherent Field and Energy Resonance System" (CoFERS). Il le décrit comme un support énergétique de forme toroïdale utilisant une source d'énergie basée sur un champ magnétique de plusieurs Megagauss et situé le long de rayons vectoriels régulièrement espacés autour du tore. Il expliqua que le CoFERS avait la forme d'un disque épais.

    Il expliqua qu'en faisant converger le plan énergétique (au sens classique) d'un objet, vers un plan d'énergie spatio-temporel sensiblement diffèrent de la normale, les forces gravitationnelles agissant sur l'objet sont modifiées.

    Et que le nouveau modèle énergétique de l'objet interagit avec l'espace-temps environnant et avec les modèles énergétiques habituels, de sorte que les forces interactives sont substantiellement modifiées. L'altération des caractéristiques du champ de forces continu a pour effet un déplacement apparent de l'objet "à travers l'espace-temps".

    Comme les forces gravitationnelles agissant sur le système de propulsion peuvent être rapidement modifiés pour obtenir le mouvement souhaité, le vaisseau spatial peut réaliser des changements de direction à angles droits à très hautes vitesses sans affecter l'équipage ou les éléments du système.

    Pour ce qui concerne les occupants, le champ gravitationnel effectif que subit l'avion/vaisseau spatial peut être quasi-simultanément réorienté à un angle de 90°, résultant en un mouvement fluide et continu.

    Le système gravimagnetique est peut-être mieux adapté à une utilisation dans et autour... une grande masse telle que la Terre.

    Tandis que le système gravimagnetique est susceptible d'être le premier système propulsif dépendant d'un champ a avoir été développé, le système à résonnance de champ propulsera les voyages stellaire et galactique hors du domaine de la science-fiction.

    Le système à résonance de champ génère artificiellement un système énergétique qui correspond précisément ou résonne avec un système virtuel associé, situé en un point distant de l'espace-temps.

    Selon le modèle, si une résonance fondamentale ou précise est établie (à l'aide de techniques de manipulations fines des ondes hydromagnétiques), le vaisseau spatial sera très fortement et également repoussé par les systèmes énergétiques virtuels environnants.

    Dans le même temps, au travers des nombreuses structures tridimensionnelles virtuelles de l'espace-temps, une attraction très forte avec le système virtuel d'un point d'espace-temps distant existera. ...cette combinaison de forces très importantes se traduira par la trans-localisation de l'engin depuis sa position initiale, le faisant passer au travers des multi-dimensions des structures énergétiques virtuelles et le transportant au point d'espace-temps distant.

    Un saut au travers de l'espace-temps semble déjà être soutenu par la recherche astrophysique.

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